LA DIRECTION SPIRITUELLE DES CENTRES

Les centres ont pour objectif de diffuser l’enseignement du Bouddha selon la tradition Karma Kagyu, Shangpa Kagyu et Nyingma sous l’autorité du 17ème Karmapa Trinlay Thayé Dorjé, afin de permettre au plus grand nombre d’êtres de se connecter au Dharma, de l’étudier, et de le pratiquer.

Lama Mönlamgyatso rinpoche assure la direction spirituelle des centres et dispense lui-même les enseignements.

La taille des centres permet à Lama Mönlamgyatso rinpoche de connaître tous ses élèves, et de pouvoir tisser avec chacun de ceux qui le souhaitent une relation vivante et personnelle.

Courte biographie de Lama Mönlamgyatso rinpoche

Lama Karma Mönlamgyatso, né à Dortang au Népal en 1962, est descendant d’une famille de pratiquants de Dharma.
Son père-réalisé Lama Ngawang Tchötroub rinpoche, de famille Thagtsang, est originaire du Dzarib dans la région Nord du Tibet Mont Kailash et de Trinlay Zangmo de famille Godjo, originaire de Lhatog dans le Kham, à l’Est du Tibet.
Père et mère décèderont respectivement et passeront en paranirvana, le 1er avril 2000 et 31 décembre 2002 avec signes de réalisation.

C’est en 1963, que ses parents partent se réfugier en Inde et voyagent pour Sirmour pas loin de Staun (dans le district de l’Himachal Pradesh).

En 1967, à 5 ans, un de ses oncles Lama Thubten Paljor, moine de Karmapa sortant de la retraite de 3 ans à Sonada, près de Darjeeling, est venu rendre visite à toute la famille au camp de réfugiés. À ce moment précis, se réveille en lui sa forte attirance pour le Dharma et son lien karmique avec son oncle. Grandement inspiré à le suivre dans un institut religieux, et malgré l’opposition de ses parents du fait de son très jeune âge, ses parents cèdent devant tant d’insistance et le confient à son oncle.

Rigoureusement éduqué à l’ancienne selon les méthodes traditionnelles tibétaines réservés aux Tulkous et grands maîtres, il étudie sans relâche à Sonada, au monastère de Kalou rinpoche jusqu’à 14 ans. À ces journées d’études et d’offices religieux, s’additionnent des études laïques classiques au camp de réfugiés tibétains de Sonada.

En 1976, son oncle l’emmène en France, où pour la première fois, il rencontre sa marraine Paule Roulet, qui sera une dizaine d’années plus tard, fondatrice du centre KZK Paris. En 1981, il part vivre chez elle à Paris.

Fin 1983, il retourne à Darjeeling Sonada pour la retraite de 3 ans dirigée par Kalou rinpoche.
Après avoir parachevé l’écoute, la réflexion et la méditation, il revient en occident sur les conseils de son Maître pour répandre le Dharma et s’occuper des centres de Genève et Paris.
Il suivra les conseils de son Lama au lieu de rester dans la région l’Himalayenne pour pratiquer.

En 1997, sur le conseil de son père, il se met en couple et fonde une famille. En 2002, S.S. le 14ème Shamarpa authentifiera l’incarnation de son premier fils comme étant son père et le deuxième plus tard comme étant Tobga rinpoche.

Durant toute sa formation religieuse, il n’eut de cesse de rencontrer différents maîtres éminents tel que : S.S. le 14ème Dalaï Lama, Kalou rinpoche, 16ème Karmapa, 17ème Karmapa, Sakya tridzin, 2ème Dudjom, 3ème Dudjom, 3ème Jamgon Kontrul, 14ème Shamarpa, Chogye trichen, Dilgo Khyentsé, Nyoshul Khenpo, Chadral Sangyé Dordjé, Tulkou Orgyen, Lama Ngawan Chötrub, Penor rinpoche, et bien d’autres…
Il eu l’excellente chance de recevoir leurs précieuses instructions.
Grâce à une dévotion sincère, des liens sacrés sans aucune brisure, et à travers leurs enseignements et initiations, il obtient le fruit de toutes leurs bénédictions.

Cultivant la vision pure (dag nhang), son orientation d’école est plutôt Karma Kagyu, Shangpa Kagyu et Nyingma, du mouvement non sectaire (rimé) qui appartient à la tradition de Jamyang Khyentsé Wangpo et Jamgön Kongtrul Lodrö Thayé du 19e siècle, manifestant un respect de toutes les écoles du bouddhisme et du bouddhisme tibétain, et de toutes les religions.

Ouvrage biographique de Lama Mönlamgyatso rinpoche

Le fils d'un tigre blanc- descriptif

Avant-propos

OM A HOUNG BED ZAR GURU PÉ MA SIDDHI HOUNG

Selon une pure tradition tibétaine, par loyauté, mes années de petit moine dans un monastère ne devraient pas être racontées. J’ai pourtant décidé de les partager par altruisme. Lama, homme, père, grand-père un jour je l’espère, il m’est insupportable de penser que d’autres enfants attirés par une vie spirituelle, comme je l’ai été, puissent subir ce que j’ai enduré et cela où qu’ils soient. Je pense qu’en dénonçant certains usages, issus de mon expérience personnelle ; considérés comme des crimes dans de nombreux pays, des tragédies seront évitées. Les lois occidentales sont claires et sévères par rapport aux violences contre les enfants, mais ailleurs, notamment en Asie, elles sont tolérées sous prétexte de traditions, disons plutôt de coutumes. J’espère que mon témoignage ici sera lu, compris, interprété comme un message de paix et de cohérence au service de ma religion. J’ai écouté ma voix intérieure, mes souvenirs intimes devaient être révélés, à la faveur d’une meilleure cohésion entre les adeptes du bouddhisme, jeunes comme adultes.

TARA : OM TA RÉ TUTTA RÉ TOU RÉ SO HA

OM MANI PÉ MÉ HOUNG HRI

 

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